top of page

 

AU NOM DU PÈRE, DU FILS ET DES J.M WESTON  (Tarmac)

Mouvement - Annabelle Hanesse

(…) Eh mec, elles sont où mes pompes ? Omniprésente, la parole insuffle un rythme proche de la réanimation cardiaque. Tel un bouche-à-bouche, les comédiens se lancent et s'arrachent les répliques. On a l'impression d'assister en direct à l'éveil du texte.

​

 

Les Inrocks - Fabienne Arvers

(…) La SAPE contre les Kalach. Ce qui est intact, c'est l'intarissable énergie de vivre, qu'elle prenne les couleurs flamboyantes de la SAPE lors de défilés impayables, ou qu'elle s'empare du langage pour mitrailler les horreurs de la guerre et réinsuffler du courage et de la résistance avec les armes de l'humour et de l'insolence.

​

 

Le Canard enchaîné - Mathieu Perez

(…) Sapeurs et sans reproches. Un texte à l'humour bagarreur sur la guerre, passant du jeu de mots léger à l'absurde avec une bonne dose d'humour noir et un solide sens de la formule.

​

​

​

DE L’INFLUENCE DES RAYONS GAMMA SUR LE COMPORTEMENT DES MARGUERITES (Théâtre de l’Atelier)

Télérama- Fabienne Pascaud

(…) Isabelle Carré reprend aujourd’hui pour la mettre en scène et interpréter elle-même la génitrice calamiteuse et vampirique. Entourée de deux superbes jeunes actrices, elle le fait avec une émotion, une souffrance, une folie rare. Et voir le trio s’entredéchirer, se torturer et s’aimer désespérément sur le plateau bazar est un troublant frisson de théâtre. Malgré les quelques clichés de cette tragicomédie datant des années hippie…

​

​

 

Le Canard enchaîné - Jean-Luc Porquet

(…) Non, il ne s’agit pas ici d’une ode à l’énergie nucléaire, mais d’une revigorante allégorie. Aujourd’hui, on dirait que ça parle de résilience.

​

​

​

LES MÉFAITS DU TABAC (Bouffes du Nord)

Figaroscope, Armelle Héliot

(Michel Robin) est un poème à lui seul. (…) Il est de ces artistes dont on reconnaît entre mille le visage, la silhouette, la voix ; la manière unique d’être.  Au génie du lieu, saisissant, mystérieux, s’ajoute celui de la scénographie suggestive et délicate de Delphine Sainte-Marie.

​

​

 

Le Monde, Fabienne Darge

La musique se fait théâtre, et raconte, et le théâtre se fait musique – ce qui, évidemment, convient admirablement à Tchekhov et à Michel Robin (…) On rit, on s’amuse. On est ému. Floriane Bonanni a su choisir les pages musicales qui correspondent au texte sans le paraphraser. La clarté de Bach, l’emportement de Tchaïkovski, l’entêtement de Berio (…) Une très belle idée, accomplie avec tact.

​

​

 

Les Inrockuptibles, Fabienne Arvers

Une heure qui passe comme un songe, la musique égrenant les rêves et le discours d’un homme.

​

​

 

L’express Styles, Laurence Liban

Signé Denis Podalydès, cet hommage au merveilleux Michel Robin est aussi une déclaration d’amour à la musique et au théâtre. (…) Une splendeur tendrement fanée par Christian Lacroix.

​

​

​

LA RÉVOLTE DES SOUPIRANTS  (Grand Théâtre d’Angers)

Courrier de l'Ouest, Jean-François Lattarico

Admirablement construite et mise en scène, cette « Révolte des soupirants » tisse autour d’un vrai projet dramaturgique, une histoire cohérente et incandescente, traversée par la folie, la fureur (celles de Don Quichotte), la plainte, la résignation (celles d’un amant anonyme) et la plus étrange des relations amoureuses (celle de Pygmalion pour sa propre statue). Pendant un peu plus d’une heure que dure le spectacle, un tabouret surélevé se transforme, des objets incongrus viennent constituer les membres épars d’un idéal féminin fantasmé. Travail formidable de la plasticienne Delphine Sainte-Marie, la statue de Pygmalion prend corps et s’anime, telle une invention bizarre digne des plus étranges créations d’un Bracelli !

​

​

 

LE DERNIER REGARD D’EURYDICE  (Grand Théâtre d’Angers)

La Croix

Il ne fallait pas s’attendre à un récit académique de ces mythes et ces histoires, mais découvrir avec le récitant la profonde simplicité de leur trame, la poésie insufflée par un Didier Kowarsky envoûtant de théâtre et de présence qui a affirmé ses dons de conteur, d’artisan de mystère et d’épopées. […]  Nous avons particulièrement apprécié l’agilité et l’inventivité de chaque membre d’Amarillis dans l’ornementation des différentes pièces. De même, les changements à vue de lumières et les décors composites ont conféré un éclat fantastique, sensationnel et inspiré à ce spectacle tout public.

© 2022 by delphinesaintemarie created with Wix.com

bottom of page